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#270 – Friends Will Be Friends
Queen in A Kind of Magic (1986)

My friends rock…
Merci. Oui, merci My Friends (Red Hot Chili Peppers).
Je vais parler avec mon (ro)coeur et vous dire à quel point vous m’avez touché. Touché en plein coeur.
#233 – Just Because
Jane’s Addiction in Strays (2003)
Je n’aime pas trop les Red Hot.
Ouiiiiiiii alors bon, ils ont bien trouvé leur voie en mélangeant du funk, du rap et du rock pour en faire leur style à eux, le style Red Hot. Même si le funk et le rap c’est pas trop mon dada, j’ai toujours eu beaucoup de respect pour les lanceurs de tendances.
Ouiiiiiiii alors bon, ils ont bien quelques chansons qui sortent un peu du lot, genre Suck My Kiss ou Give It Away, Savior (sublimée en son temps par Alx02) ou Road Trippin.
Ouiiiiiiii alors bon, ils m’ont bien fait acheter les albums Californication ou By The Way parce qu’il fallait bien faire comme tout le monde au lycée, et puis leurs clips de l’époque étaient quand même rigolos.
Mais quand même, depuis ils se sont bien spécialisés dans la production de masse de soupe à l’oignon. Voilà à peu de choses près le résumé complet de mon expérience Red Hot. A part ça… Ah si, suis-je bête. A part ça, il y a One Hot Minute…
Review #3 Red Hot Chili Peppers @ Stade de France, Paris
Evening With Red Hot Chili Peppers
Samedi dernier, c’était le grand soir pour les Red Hot Chili Peppers (Savior déjà traitée par LRT) et le public d’un Stade de France quasi complet.
Arrivés sur scène après The Vaccines (chroniqués ici) et Tinariwen (non vu pour cause de soldes), le chanteur Anthony Kiedis, casquette sur la tête, et ses acolytes ont débuté leur concert avec le premier titre de leur dernier opus, Monarchy Of Roses.
Enchainant rapidement avec Around The World et Dani California, les californiens ont eu un peu de mal au début à faire bouger un stade rempli mais bien (trop ?) grand. Lire la suite…
#29 – Savior
Red Hot Chili Peppers in Californication (1999)
Comment rendre hommage en quelques lignes à l’un de mes « always favorite » groupes (cf. paroles) quand on préfère « savourer » la musique plutôt que la commenter… Peut-être en faisant découvrir aux lecteurs de LRT un des diamants bruts caché derrière les ultra-méga-tubes des RHCP, comme les punchisant « Blood sugar sex magic » et « Give it away » ou les ballades romantico-dépressives « Under the bridge » (sacrifié par 4 saintes…), « My friends » et « Road Trippin ». Lire la suite…