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#245 – My Big Mouth
Oasis in Be Here Now (1997)
La semaine dernière, l’annonce est tombée et les détails sont apparus (à Benoît et aux autres), Oasis va bien ré-éditer ses 3 premiers albums. Une opération remasterisation baptisée Chasing The Sun (certainement en hommage à Slide Away, une des plus belles pépites made in Gallagher) qui commence dès le 19 Mai avec la sortie en divers formats de Definitely Maybe millésime 2014. Si la production Owen Morris est entrée dans la légende, il est bon de se demander ce qu’apportera réellement cette remasterisation. Car comme a récemment Twitté Liam : ‘You can’t remaster something that’s already been mastered’. Fair enough. Mais ce sera au moins l’occasion de s’acheter les vinyles de ces albums, graal ultime pour tout fan d’Oasis qui se respecte (le marché de l’occase sur les LP des ninetees est extrêmement favorable à l’offre !)
3 albums d’Oasis sont à ranger dans la boite « années 90 » : Definitely Maybe donc (vous suivez…), (What’s the Story) Morning Glory? et Be Here Now. C’est ce dernier qui nous intéresse aujourd’hui. Car s’il y a bien un lbum d’Oasis qu’il est bon de mépriser, c’est celui-ci. Du moins, c’est ce que les groupies des lads de Manchester se plaisent à dire. Car au final, Be Here Now est et restera le meilleur Opus des carrières des frères Gallagher. Les vrais le savent. Et vous aussi, maintenant vous saurez…
#237 – Cheat On Me
The Cribs in Ignore The Ignorant (2009)
On parlé récemment de l’impact qu’un guitariste pouvait avoir sur la génèse d’un album. Qu’on se le dise, le cas ‘Navarro/One Hot Minute‘ est loin d’être isolé. Et ce ne sont pas les 3 Frères Jarman qui vous diront le contraire. Avant, ils étaient considérés comme les grands espoirs de tout un peuple, au même titre que les Libertines. Mais ils n’ont jamais vraiment confirmé, à part quelques bribes par-ci par-là. Les Hatem Ben Arfa de l’indie rock en sorte. Mais ça, c’était avant Ignore The Ignorant. Et Ignore The Ignorant, c’est Johnny Marr.
#189 – Keep What Ya Got
Ian Brown in Solarized (2004)
LRT, et même Paris soyons fous, est tombé sous le charme ravageur des 4 de Manchester, qui font depuis 2012 leur retour sur les scènes qui ont fait leur réputation et leur ont, semble-t-il, bien manqué. Deux dates successives programmées sur Paris, à La Cigale plus exactement, c’est un privilège qui nous a été offert et nos yeux et oreilles (notamment à cause – ou grâce à la fausse justesse de la voix d’Ian Brown) et nous en avons témoigné dans nos colonnes. Et devinez de qui je vais parler aujourd’hui… ? (elle est belle am transition non ? Facile ? Oh, soyez indulgents) Lire la suite…
#148 – Two Fingers
Jake Bugg in Jake Bugg (2012)

Jake Bugg : un visage de poupin, une voix d’ange, une musique de vieux folkeur !
Après avoir insulté Ryan Gosling, il y a quelques semaines, essentiellement animé par la jalousie (oui j’ai pêché), je m’apprêtais à égratigner Jake Bugg dirigé par le même vice. Cependant j’ai peur de passer pour un vieil aigri en avançant que cet adolescent pré-pubère n’est qu’un puceau précoce (cela va souvent de paire). Sans tomber dans le jeunisme (il est né en 1994, ça fait mal…), concentrons-nous sur son talent et sa maturité musicale que beaucoup d’artistes n’obtiendront jamais…
#143 – Four Letter Word
Beady Eye in Different Gear, Still Speeding (2011)
Beady Eye, c’est Oasis moins-1. Je me dis, forcément c’est pour moi, grand défenseur des causes « Oasis est le plus grand groupe de l’Univers » (sic) et « Liam Gallagher est le meilleur chanteur que cette Terre ait jamais porté » (sic²), je ne peux qu’aimer Beady Eye. Premier single, The Roller : sympa, très sympa. Sortie de l’album, première écoute, premier titre… Four Letter Word… J’aime !! Lire la suite…
#43 – Rearrange
Miles Kane in Colour Of The Trap (2011)
Une coupe de cheveux de Beatles période « casque », un jeu de scène à la Macca, la classe du dandy, un sourire plein de dents, ça y est vous venez faire connaissance avec Miles Kane !! Miles (tu permets que je t’appelle Miles?), c’est le gars dont on a juste envie d’être son bon pote, tellement il a l’air sympatoche (comme mon Patoche).