#16 – L.S.F.
Kasabian in Kasabian (2004)
L.S.F. (Lost Souls Forever) 3 lettres d’amour pour des âmes perdues à jamais. Et mon âme était en perdition au moment de la première écoute. Faut dire… 3 heures du Mat’, 3 grammes, M6 Music… C’est le genre de cocktail (non ! on avait dit plus d’alcool…) avec lequel vous avez plus de chance de mourir lamentablement échoué sur le dernier « tube » de Magic System que de tomber sur un air qui, au petit matin (ouais… enfin plutôt 14-15h), vous reste encore dans la tête… Aie ma tête, ça tourne encore…
Kasabian c’est une claque à chaque écoute des 4 albums jusqu’à ce que vous tendiez gentiment l’autre joue quand vous les découvrez sur scène. A cet instant précis, vous commencez à aimer prendre des claques… Kasabian c’est aussi l’alliance entre un frontman d’exception (Tom Meighan) et un compositeur en perpétuelle recherche (Sergio Pizzorno). Du coup, vous n’hésitez plus à sillonner la France et aller jusqu’à Wembley pour avoir le plaisir de les voir 9 fois (compteur non arrêté). Faites attention, c’est une drogue très puissante… Et LSD euh… LSF, hé je déconnais pour la drogue, allez, viens gamin, c’est pour rire ! Donc, on disait… LSF est aussi très souvent la chanson de clôture de leurs concerts ou d’avant rappel, celle qui fait chanter longtemps (mais longtemps) le public qui trépigne à l’idée d’un retour sur scène du groupe. Et au détour d’un Zenith de Paris en Novembre 2011, ils vous offrent en guise d’au revoir une reprise a cappella de LA déclaration d’amour des Beatles à la France : Michelle (lien fortement recommandé : Rocktube). Kasabian c’est tout simplement une histoire d’amour musicale.
Let’s Rock Today (and Love Kasabian Tomorrow)
LLLL
Merci beaucoup JP pour le comment! Content que l’article t’ait plu! N’hésite pas à revenir de temps en temps découvrir des nouveaux artistes ou avoir un oeil nouveau sur les legendes!
Ca y est, je prends enfin le temps de te lire.
J’ai les mêmes sensations que toi. Pourtant avant de devenir fan absolu, j’ai supporté tant bien que mal et difficilement l’album Empire que je trouvais trop « grunge » à l’époque.
J’ai ensuite découvert West Ryder Pauper Lunatic Asylum que j’ai adoré, puis le premier album Kasabian que j’ai dévoré et enfin le dernier album où il n’y a pas un titre à jeter.
Merci pour cet article et le fameux clips avec les dames prisonnières.
J’ai fait suivre le lien de ton Blog à ma femme qui avait découvert Kasabian à Taratata (TARATATA N°201 France 4 – Dif. le 05/01/07) avec le titre phare de l’époque « Shoot the runner.
jpjannin